jeudi 31 mars 2011

Journée doctorale du GID

Le GID (groupe interdisciplinaire des doctorants) de l'école doctorale Montaigne Humanités organise une journée doctorale le 14 avril 2011, à partir de 9h00 à la Maison des Sciences de l'Homme d'Aquitaine, salle Jean Borde.

9h00 Ouverture de la Journée par Isabelle Poulin, Directrice Adjointe de l’Ecole Doctorale

9h30-10h30 Espaces et discours

Emmanuelle Bonneau, paysagiste dplg, urbaniste : « Bordeaux, l’espace du pouvoir imaginaire, du récit littéraire au discours politique, un parcours cartographique. »

Anaïs Théviot, Science Po Bordeaux : « Naissance discursive du blog-notes d’Alain Juppé. »

Christelle Delarue, TELEM, Université Bordeaux 3 :« S’il est vrai qu’un homme se juge à son écriture... »

Discussions, pause

10h30 -11h50 Récits et langages

Laura Jankeviciute, MICA, Université Bordeaux 3 : « Les représentations et les usages d’Internet dans la culture numérique juvénile : approche interdisciplinaire »

Sandra Lemeilleur, MICA, Université Bordeaux 3 : « Conquête d’un nouveau territoire de subjectivation comme conséquence de l’évolution des sociétés démocratiques »

Villa Valeria, EEE, Université Bordeaux 3 : « Pouvoir et enjeux des pratiques langagières des migrants dans les espaces interactionnels urbains en Italie »

Annick Vernay, TELEM, Université Bordeaux 3 « Le pouvoir de la littérature »

Discussions, Pause déjeuner

14h00- 15h00 Figures et contre-figures du pouvoir ?

Bertrand Guest, TELEM, Université Bordeaux 3 : « Ordres sans pouvoirs : le projet scientifique et poétique des géographes libertaires au XIXe siècle. Humboldt, Thoreau, Reclus. »

Nicolas Boutan, MICA , Université Bordeaux 3 : « Conduire vs Construire »

Thimothée Duverger, CEMMC, Université Bordeaux 3 : « L’autonomie contre la « culture de la généralité » : les discours écologiques d’Ivan Illich, André Gorz et Cornelius Castoriadis dans les années 1970 »

Discussions, pause

15h30-16h30 Pouvoirs d’ici et ailleurs

Stéphanie Benson, CLIMAS, Université Bordeaux 3 : « The palace of power is a labyrinth of interconnecting rooms (...) It’s windowless, and there is no visible door »

Céline Roque, E.E.E., Université Bordeaux 3 : « La description des sociétés Tupi et l’interrogation sur les structures de pouvoir dans les lettres de voyage d’Amerigo Vespucci au début du XVIème siècle. »

Anne-Laure Reybreyend, AMERIBER, Université Bordeaux 3 : « Captation du pouvoir dans le récit espagnol contemporain. Paradoxes et espaces de détermination du sens. »

Discussions et clôture de la journée

Contact : christelle.rouet-delarue@u-bordeaux3.fr


Doctorales de la SFSIC

Les Doctorales de la SFSIC, organisées à la MSHA les 30 et 31 mars 2011, battent leur plein.

Le Professeur Valérie Carayol, directrice du MICA, rappelle que tous les membres du MICA sont dispensés d'inscription et peuvent y assister librement (sauf le déjeuner et le Bar Camp).

mardi 29 mars 2011

PostDoc at l'ULB

Discourse analysis and international relations (Brussels)

Call for application:

Two-years post-doc fellowship "The EU as Global Discursive Actor" at the Université libre de Bruxelles (Belgium). This fellowship is part of a broader EU FP7 funded project entitled "Global Re-ordering: Evolution Through European Networks" (GR:EEN).

Deadline for application: May 1st 2011.

REASEARCH RELATED RESPONSIBILITIES:

1. To research and draft work to publishable standard, and to deliver findings at seminars, workshops and conferences

2. Organize a series of international scientific workshops on specific topics lying within the research agenda associated with this call

3. Organize and Develop a Case study Integrated Forum (CSIF) – a research and dissemination platform aimed at confronting the research and policy making communities involved in the topics covered by the research agenda associated with this call

4. To assist in the development and promotion of PhD programmes in this area through teaching, tutoring and programme development in the broad areas of International Relations and International Political Economy/and EU Studies

5. To help facilitate international linkages and partnerships in particular, and further the Institute’s Internationalization in general

PostDoc at Colgate University (USA)

The Department of Writing & Rhetoric at Colgate University invites applications for an Andrew W. Mellon Post-doctoral Fellowship in Public Address and a related field in Rhetoric, to begin Fall, 2011. We seek a colleague with teaching experience who has completed a PhD in Rhetoric or Communication Studies by the time of the appointment but no earlier than 2007, and who does not currently hold a tenure stream position. We are especially interested in candidates who plan a career in undergraduate teaching and research, and whose scholarly program is focused on public address with the goal of combining practical pedagogies with rhetorical theory and criticism. This is a one-year fellowship; the Fellow's time will be divided between teaching three courses in public speaking/public address and conducting a personal research program in his or her scholarly specialization. The Fellow will be invited to contribute fully to the life of the department. Compensation for 2011-12 is $42,000 plus benefits. Financial support for research and travel will be available, and mentoring will be offered by a senior member of the department.

Applicants should submit a cover letter, /curriculum vitae/, a statement of teaching philosophy, a statement of research objectives, and three confidential letters of recommendation at https://academicjobsonline.org/ajo/jobs/689. Review of applications will begin immediately and continue until the position is filled. Questions about the position should be directed to the chair of the search committee, Kermit E. Campbell (kcampbell@colgate.edu).

Colgate University is an equal opportunity/affirmative action employer; women and minorities are especially encouraged to apply. Developing and sustaining a diverse faculty, staff, and student body further the university's educational mission.

Colloque international du GRER

Sixième Colloque International du GRER

« Radios libres, 30 ans de FM : la parole libérée ? » à l’Université Paris-Diderot (amphithéâtre Buffon, 15 rue Hélène Brion, Paris 75012)

Vendredi 20 et samedi 21 mai 2011

L’année 1981 a marqué l’accélération fondamentale du mouvement des radios libres, engagé depuis 1977 en France. Bénéficiant de l’élection de François Mitterrand à la présidence de la République et du changement de majorité qui s’ensuivit, s’engouffrant dans la brèche pratiquée par les dissidents de la première heure, des dizaines, des centaines, puis des milliers de stations locales virent le jour partout sur le territoire. Contraint de légiférer dans l'urgence, le nouveau pouvoir fit voter deux lois successives : l’une dite de tolérance, le 9 novembre 1981, l’autre de régulation, le 29 juillet 1982. L’année 1981 marqua donc la fin du monopole de la radiodiffusion, existant depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale en France, et, de fait, les débuts de la dérégulation de l'audiovisuel français. À l’occasion du trentième anniversaire de ce basculement, le Groupe de Recherches et d’Études sur la Radio (GRER) souhaite revenir sur cet événement déterminant, en organisant un colloque international et en vous conviant à y participer à l'Université Paris-Diderot.

Née sous l’étendard de la « parole libérée » et de la communication sociale, dans des conditions historiques qu’il s’agira de réexaminer, la grande vague radiophonique des années 80 a-t-elle tenu ses promesses ? De quelles manières ? Quel est son héritage ? Différentes thématiques seront évoquées au cours de cette rencontre :

- Histoire(s) et définition(s) du mouvement des radios dites libres ;

- Influences réciproques entre le mouvement français et ses équivalents étrangers (Italie, Belgique, Grande-Bretagne, Espagne, Afrique, etc.) ;

- Évolution des radios locales privées au regard de l’aspiration initiale à une « parole libérée » et analyse du paysage radiophonique né après 1981 ;

- La mémoire, l’archivage des productions de ce mouvement et leur mise en valeur (entre autres muséographiques).

Ce colloque est organisé par le GRER en partenariat avec l'Université Paris-Diderot, ainsi que le Centre d'art et de recherche Bétonsalon et l'association Eldoradio (qui organisent, en relation avec le colloque, une exposition, cf. infra), la Fédération des Radios Associatives d'Île-de-France (FRADIF), l'Institut National de l'Audiovisuel (INA), la société Médiamétrie et le Comité d'Histoire de la Radio (CHR).

Entrée libre et gratuite (dans la limite des places disponibles et sous réserve d'inscription préalable, sur le blog).

Lieu : Université Paris-Diderot (amphithéâtre Buffon, 15 rue Hélène Brion, Paris 75013).

La langue du colloque sera le français.

Comité scientifique : Frédéric Antoine (Université de Louvain-la-Neuve), Jean-Jacques Cheval (Université Bordeaux 3), Christophe Deleu (Université de Strasbourg), Thierry Lefebvre (Université Paris-Diderot), Albino Pedroia (Science Po Paris), Pascal Ricaud (Université de Tours).

lundi 28 mars 2011

Appel à communication colloque "Communication et Journalisme"

Communication et journalisme : nouvelles frontières, nouvelles interdépendances?

Communication and Journalism: New borders, new boundaries?

RÉSUMÉ

L’enjeu de ce colloque est de favoriser les échanges entre des intervenants issus d’une diversité de disciplines (sociologie, sciences de l’information et de la communication, science politique, histoire, philosophie, etc.), mais aussi d’origines géographiques diverses, afin de permettre la rencontre de questionnements théoriques, d’ancrages méthodologiques et de cas empiriques pluriels.

ANNONCE

Appel à communication pour le colloque : Communication et journalisme : nouvelles frontières, nouvelles interdépendances ? 19-20 janvier 2012, Université Versailles Saint-Quentin, Master « Politiques de communication », VIP / CERAPS

Argumentaire

Malgré une multiplication indéniable des enquêtes consacrées aux communicants et à leurs pratiques, la sociologie de la communication n’a pas connu la même « montée en puissance » que celle repérable en sociologie du journalisme [Neveu et al., 2002 : 10]. Ce moindre intérêt des sciences sociales apparaît paradoxal, tant les processus de médiatisation et de circulation d’informations semblent difficilement analysables si l’on ne tient pas compte des transformations des activités communicationnelles. Si les professionnels de la communication – attachés de presse et « relationnistes » en tête – ne sont pas totalement absents des recherches consacrées aux produits médiatiques, ils sont le plus souvent appréhendés à travers le concept-écran de sources. Ainsi réduits au statut de « porte-parole » anonymes des organisations qui les emploient, ils n’apparaissent pas comme des acteurs à part entière dans les dynamiques de production de l’information. On sait finalement peu de choses de leurs positions respectives dans les organisations, de leurs interactions avec ceux dont ils sont chargés de fabriquer l’image, ou de leur contribution propre aux mécanismes de construction de contenus médiatiques.

Pour contribuer à la connaissance de ces « communicants » et de ce qu’ils font à la production de l’information, l’objectif de ce colloque est de questionner ce qui joue aujourd’hui entre « communication » et « journalisme » ou, plus exactement, entre « communicants » et « journalistes ». Les guillemets sont de rigueur puisqu’il demeure nécessaire de réinterroger la pertinence d’un tel découpage du monde social. Plutôt que d’identifier une improbable essence de ces secteurs et ainsi risquer de reproduire certains mythes professionnels, il s’agit au contraire d’observer comment les acteurs construisent, s’approprient et redéfinissent ces frontières, identitaires et pratiques. Il convient en particulier de saisir leurs interactions au quotidien, que ces dernières prennent une tournure conflictuelle ou coopérative [Legavre, 2007]. Il faut aussi rendre compte des transformations structurelles qui touchent ces univers et contribuent à reconfigurer leur interdépendance [Neveu, 1994] : métamorphoses de l’espace médiatique sous l’effet de la « libéralisation » de l’audiovisuel et du développement des technologies numériques, extension considérable des formations aux métiers de la communication et du journalisme, évolutions des modes de consommation médiatique, « professionnalisation » de la communication dans la plupart des institutions et entreprises, diffusion d’une idéologie de la « transparence », etc.

Pour aborder ces enjeux, les contributeurs peuvent s’inspirer d’un des quatre axes probléma-tiques suivants.

1. Construction et déconstruction des frontières

Les contributions peuvent tout d’abord s’inscrire dans une perspective historique, afin d’étudier la genèse et la sédimentation des frontières entre les univers de la « communication » et du « journalisme », en France comme dans d’autres configurations nationales. Comment se stabilise l’identité professionnelle des « communicants » ? Dans quelle mesure les dynamiques de professionnalisation du journalisme [Ruellan, 1997] se sont-elles nourries d’un souci de démarcation à l’égard des secteurs de la « propagande » ou de la « réclame » ? Dans quelles circonstances les notions de « communication » et d’« information » ont-elles été envisagées comme distinctes voire antinomiques [Georgakakis, 2004] ?

De la même manière, les logiques ayant historiquement présidé au découpage entre « communication », « marketing » et « publicité » méritent d’être mises en évidence [Cochoy, 1999]. L’autonomisation de ces espaces professionnels résulte-t-elle d’une excroissance de l’un d’entre eux ou y a-t-il eu très tôt constitution de spécialités distinctes [Riutort, 2007] ? Au-delà, on peut également se pencher sur les principes de segmentation et d’objectivation des clivages à l’intérieur même de l’espace communicationnel (par exemple, « communication publique » vs. « Communication d’entreprise », agences vs. services de communication) et analyser les incidences de telles divisions sur les savoir-faire professionnels, notamment en matière de « relations presse ».

Dans une perspective comparative, on peut examiner si ces frontières externes ou internes font sens dans d’autres contextes nationaux. Si oui, sont-elles le produit de dynamiques historiques singulières ? Reposent-elles sur des formes de circulation internationale des pratiques, des technologies sociales et des représentations ? Le cas échéant, ont-elles été construites suivant des dynamiques historiques différentes ? Ont-elles contribué, par un phénomène de circulation internationale de certaines pratiques, technologies sociales ou représentations, à la constitution des identités professionnelles des « communicants » en France ?

Il peut enfin être intéressant de remonter plus en avant dans le passé et se demander dans quelle mesure les mondes du « journalisme » et de la « communication » s’inscrivent dans une origine intellectuelle et/ou matérielle commune [Bautier, Cazenave, 2000]. À condition de ne pas tomber dans une approche essentialiste, les détours théoriques peuvent être précieux pour saisir les référents normatifs qui sous-tendent les conditions d’exercice de ces secteurs d’activité.

2. Différenciation et indifférenciation des rôles

Les contributions peuvent également envisager la question des relations entre journalisme et communication à l’aune de la différenciation sociale actuelle entre ces univers professionnels. Plusieurs perspectives peuvent permettre de répondre à cette interrogation.

Tout d’abord, des analyses d’ordre morphologique peuvent saisir l’intensité de la mobilité professionnelle entre les milieux du journalisme et de la communication. À quelles conditions les trajectoires professionnelles passent-elles du journalisme à la communication (ou l’inverse) ? Ces mobilités coïncident-elles avec la discontinuité accrue des carrières journalistiques que dressent de nombreuses données quantitatives [Ruellan, 2001] et qualitatives [Accardo, 1998] ? Dans quelle mesure les trajectoires professionnelles interagissent-elles avec les conceptions de rôle et les savoir-faire respectifs des communicants et des journa-listes ?

Ensuite, la perméabilité des frontières peut s’observer par l’étude des espaces intermédiaires entre les mondes du journalisme et de la communication : journalisme territorial [Teillet, 2002], journalisme d’entreprise, presse spécialisée à destination de publics professionnels, etc. [Croissant et al., 2005]. Comment les acteurs de ces supports définissent-ils leur activité ? Quelles normes et contraintes encadrent leurs pratiques ? Quels rapports entretiennent-ils avec leurs publics, leurs hiérarchies, leurs sources et leurs éventuels annonceurs ?

Il peut enfin s’agir de questionner les formations à la communication ou au journalisme, à l’aune de l’inculcation des catégories de perception, de l’apprentissage des pratiques et de la production d’identités singulières [Viale, 1997 ; Chupin, 2008]. Quelle place les enseignements accordent-ils à la gestion des relations entre journalistes et communicants ? Dans quelle mesure certaines institutions tendent-elles à bousculer ce clivage en préparant conjointement les étudiants aux métiers du journalisme et de la communication ? Les étudiants sont-ils, plus ou moins qu’autrefois, prédisposés à occuper l’une ou l’autre de ces positions professionnelles ? La différenciation entre journalisme et communication prévaut-elle aussi dans les formations dispensées dans d’autres pays ?

3. Interactions et interdépendances au quotidien

L’analyse des relations entre journalistes et communicants ne peut faire l’économie d’une observation de ce qui se joue, au quotidien, dans les interactions, à la fois coopératives et conflictuelles, entre ces « associés – rivaux » [Legavre, 2007]. Dans le cadre d’une sociologie de la production médiatique, attentive à l’ensemble des acteurs qui participent à l’élaboration des discours et des cadrages journalistiques, il s’agit d’ouvrir la boîte noire des « sources » et d’étudier en détails leur division du travail, leur supposée professionnalisation, leur contribution à la fabrication de l’information [Blumer, 1990 ; Negrine, Lilleker, 2002].

Quelles stratégies et quels dispositifs les communicants mettent-ils en œuvre pour enrôler les rédacteurs, pour imposer certains discours ou pour maîtriser l’agenda ? À quelles techniques ont-ils recours pour intéresser ou contourner les journalistes, et ainsi accéder à la parole publique [Legavre, 1992 ; Marine, 1995 ; Ollivier-Yaniv, 2001 ; Thomas, 2007] ? De quelles marges de manœuvre et de quelles ressources disposent-ils au sein des organisations qui les emploient [Nollet, 2006] ? Dans quelle mesure par-viennent-ils à centraliser la communication et garantir une certaine discipline de parole en interne comme en externe [Oger et Ollivier-Yaniv, 2006] ? Quel est le rôle des agences de communication dans les straté-gies médiatiques des institutions administratives, politiques ou économiques ? Répondre à ces questions peut amener à croiser observation sociologique de la fabrique de l’information et analyse de discours attentive à la circulation des énoncés dans l’espace public [Krieg-Planque, 2009].

4. Normes et savoir-faire en partage ?

Un quatrième chantier de réflexion réside dans l’analyse comparée des normes et des savoir-faire valorisés dans les univers du journalisme et de la communication. L’examen de leurs pratiques respectives laisse entrevoir une dynamique d’emprunts croisés, de métissage ou d’hybridation [Croissant et al., 2005]. D’un côté, dans un contexte d’hyperconcurrence entre entreprises médiatiques, le journalisme (écrit ou audiovisuel) s’appuierait de plus en plus sur des « recettes » éprouvées dans les secteurs du marketing, de la publicité ou des relations publiques. Mobilisés pour retenir l’attention d’un public de plus en plus sollicité, ces savoir-faire constitueraient l’un des traits constitutifs d’un « journalisme de communication » [Charron, de Bonville, 2004]. À l’inverse, pour gommer l’apparence « propagandaire » de leur production, les communicants emprunteraient régulièrement certains genres journalistiques. Par exemple, la promotion des discours institutionnel s’inscrirait de plus en plus fréquemment sous la forme, apparemment distanciée, de l’interview.

Dans quelle mesure ce mouvement est-il observable en France ? L’est-il aussi dans d’autres configurations nationales ? Est-ce une nouveauté de l’époque contemporaine ? Ces emprunts relèvent-ils strictement d’enjeux formels ou transforment-ils également les postures et les rôles endossés par les acteurs ?

L’enjeu de ce colloque est finalement de favoriser les échanges entre des intervenants issus d’une diversité de disciplines (sociologie, sciences de l’information et de la communication, science politique, histoire, philosophie, etc.), mais aussi d’origines géographiques diverses, afin de permettre la rencontre de questionnements théoriques, d’ancrages méthodologiques et de cas empiriques pluriels.

Présentation des attentes.

Les propositions (3000 signes maximum) doivent être envoyées à Nicolas Kaciaf (kaciaf@yahoo.fr) et Jérémie Nollet (jeremie.nollet@univ-lille2.fr) au plus tard le 15 mai 2011.

  • Elles seront examinées, anonymement, par les membres du comité scientifique.
  • Notification des acceptations : 30 juin 2011
  • Les Actes du colloque seront publiés.

Comité scientifique :

  • Jean Charron, professeur au département d'information et de communication (Université Laval, GRMJ).
  • Jean-Gabriel Contamin, professeur en science politique (Université Lille II, CERAPS)
  • Guillaume Courty, professeur en science politique (IEP de Lille, CERAPS)
  • Didier Georgakakis, professeur en science politique (IEP de Strasbourg, GSPE)
  • Jean-Baptiste Legavre, professeur en sciences de l’information et de la communication (UVSQ, VIP)
  • Caroline Ollivier-Yaniv, professeure en sciences de l’information et de la communication (Uni-versité Paris-Est, CEDITEC)
  • Erik Neveu, professeur en science politique (IEP de Rennes, CRAPE)
  • Yves Poirmeur, professeur en science politique (UVSQ, VIP)

jeudi 24 mars 2011

Appel à candidatures Allocation de recherche au LATTS

Université Paris-Est/Marne-la-Vallée

LATTS - Laboratoire techniques, territoires et sociétés

Appel à candidatures pour une allocation de recherche en soutien à la réalisation d’une thèse en sociologie des technologies de l'information et de la communication (TIC). La thèse portera sur les innovations récentes dans le domaine de la communication et sur les reconfigurations sociotechniques qui les accompagnent.

Les candidats devront faire parvenir au LATTS, par mail, pour le samedi 30 avril 2011 au plus tard, un dossier comportant les pièces suivantes :

-un curriculum vitae

-une lettre de motivation

-un projet de recherche de quelques pages

-un texte ou plusieurs textes de leur production (articles, mémoire…)

Le dossier complet devra être transmis par courrier électronique aux deux adresses benoit.lelong@univ-paris-est.fr et sylvain.parasie@univ-paris-est.fr (avec la mention “Appel allocation thèse sociologie TIC”).

Post-Doc Communication and Social Change, Brisbane, Australia

Vacancy: Postdoctoral Research Fellow, Centre for Communication and Social Change, University of Queensland (Brisbane)

The Centre for Communication and Social Change (CfCSC) in the School of Journalism and Communication wishes is looking to appoint an early career researcher to work in an innovative and challenging environment, and help develop new research.

The Centre for Communication and Social Change (CfCSC) is the only centre in Australia that specialises in the study and practice of communication for social change. Communication for social change is an emerging frontier, the goal of which is to use communication processes, techniques and media to facilitate social, economic and technological development. The underpinning philosophy of the CfCSC is that communication is not simply about transferring information and sending messages. Rather, it is about listening, responding to, and helping people give direction to their own change, and supporting environments that enable this change to take place. The CfCSC focuses on four key areas: participatory development communication; information communication technologies for development and social change; media and empowerment; and facilitation of and communication for transdisciplinary research for development.

The CfCSC has been involved in a range of development initiatives in the Asia-Pacific region, receiving funding from various governments, United Nations agencies and non-government organisations; and offers a niche teaching area in Australia, attracting students from across the world and a variety of disciplines.

The successful appointee will have access to start-up ongoing support, and will be encouraged to apply for his/her own research funding. There are opportunities to be part of research teams, to address individually-developed and collaboratively-generated research questions, and to supervise honours, masters and doctoral students.

Applicants should hold postgraduate qualifications at PhD level or equivalent in a field related to Communication for Social Change. You should possess a track record of publishing in high quality international journals or other appropriate refereed publications. Also, any experience in research project proposal development and coordinating the implementation of research projects is an advantage. The CfCSC welcomes domestic and international applicants.

The remuneration package will be in the range $53,780 - $72,949 p.a., plus employer superannuation contributions of 17% (total package will be in the range $62,922 - $85,350 p.a.). This is a full-time, fixed term appointment at Research Academic level A for three years.

To discuss the role contact Ms Jessica London, telephone +61 7 3346 3902 or email j.london@uq.edu.au

Send applications to: Mr Des James, Human Resources Officer, Faculty of Social and Behavioural Sciences, The University of Queensland, Brisbane Qld 4072 or e-mail applications@sbs.uq.edu.au

Applications close 22nd April 2011

Reference No 3020140

Bourses Marie Curie

Appel à propositions pour trois types de bourses Marie Curie

Le programme européen "People" finance la mobilité des chercheurs via les bourses Marie Curie. Trois appels concernant les bourses individuelles ont été lancé le 16 mars dernier.

Ces bourses sont ouvertes aux chercheurs expérimentés, pouvant justifier d'un diplôme de doctorat ou de plus de 4 ans d'expérience dans la recherche depuis l'obtention d'un master. Elles sont soumises à des conditions de mobilité et de résidence: le candidat doit avoir passé moins de 12 mois dans le pays de son organisme d'accueil au cours des 36 mois qui précèdent la date limite de soumission. Ces bourses individuelles sont d'une durée de 12 à 24 mois (IEF) ou 24 à 36 mois (IOF, IIF), et se montent en partenariat entre un candidat et un laboratoire d'accueil qui fait office de porteur de projet. Ces bourses financent le salaire, des frais connexes dus à la mobilité et offrent un budget de recherche à disposition propre du chercheur candidat.

L'objectif de ces échanges est de permettre au chercheur d'acquérir de nouvelles compétences et de bénéficier de formations pendant son séjour à l'étranger. En plus du projet de recherche, une réflexion sur le programme de formation est nécessaire avant de se lancer dans la rédaction d'une proposition.

Trois types de bourses sont disponibles:
- Intra-European Fellowship for Career Development (IEF) : Ces bourses sont ouvertes à des chercheurs de toute nationalité pouvant démontrer une mobilité intra-européenne (ou pays associé)

- International Outgoing Fellowship (IOF) : Ces bourses sont ouvertes à des chercheurs pouvant être considéré comme 'Européen' selon les règles de la Commission souhaitant effectuer un séjour dans un organisme d'un pays tiers. Ces projets sont présentés par un candidat en partenariat avec un institut d'accueil et un institut de retour. Une phase de réintégration de 12 mois est obligatoire.

- International Incoming Fellowship (IIF) : Ces bourses sont ouvertes à des chercheurs européens en poste depuis plusieurs années à l'étranger (hors EU) ou à des chercheurs de pays tiers. Pour les chercheurs issus des International Cooperation Partner Countries (presque tous les pays en développement), une phase de réintégration de 12 mois peut également être financée.

Date limite de soumission: 11 août 2011
Plus d'information:

mercredi 23 mars 2011

Colloque "Risques en Afrique", Bordeaux


4 et 5 avril 2011
Maison des sciences de l'hommes d'Aquitaine, Pessac

C'est dans le cadre du programme quadriennal « Risques en Afrique » de la Maison des Sciences de l’Homme d’Aquitaine, qu’un ensemble d’enseignants-chercheurs, chercheurs et doctorants s’est réuni pour élaborer une réflexion pluridisciplinaire sur le Risque. À partir d’objets d’étude et de terrains différents, ces derniers ont échangé leur approche théorique et méthodologique en partageant leurs résultats. Cette synergie, rassemblant des analyses sur le risque dans les champs de la santé, du risque professionnel, du pouvoir politique, de l’espace-environnement et de la communication, donne lieu à ce colloque qui présentera les principaux résultats du programme, y intégrera de nouvelles réflexions et des perspectives.

Programme:

- Table-ronde: Regards croisés sur les risques en Afrique

- Atelier 1: Les représentations des risques

- Atelier 2: Risques: conditions de vie, ressources, environnement, santé

- Atelier 3: Risques et pouvoirs

- Atelier 4: Risques professionnels

Parution: La Revue du Sensible

LA REVUE DU SENSIBLE

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Revue d'Esthétique des Arts Visuels

Revue semestrielle en ligne

Dans la philosophie antique, le mot esthétique désigne la sensation. Avec Kant, l'esthétique a pour objet le jugement d'appréciation et le jugement de goût. L'aesthétik est pour Kant l'étude des "formes a priori de la sensibilité" dans le temps et l'espace. Kant construit par le passé la distinction du laid et du beau afin de fonder le jugement d'esthétique.

Dans la présente revue, nous aborderons l'esthétique dans son sens premier : la sensation, du grec aesthètikos, qui peut être perçu par les sens.

La Revue du Sensible est une revue qui rendra compte de l'esthétique et de la philosophie des arts plastiques. Actuellement les Arts Numériques subissent une évolution sans précédent. Évidemment, cette mutation mérite notre réflexion pour appréhender les œuvres d'artistes contemporains.

La Philosophie de l'Art se pense à partir de la pratique sensorielle des artistes. C'est la raison pour laquelle nous interrogeons une époque qui vit le sensible de l'art par procuration. Du coup, la théorie reste tributaire de la perception du sensible, du sensuel, des sens, même si elle les néglige. Ainsi les artistes actuels envisagent-ils l'inconnu du réel comme un matériau d'expérience à déchiffrer de génération en génération.

L'ART A L'ÉPREUVE DU SENSIBLE / n°1 / mars 2011


SOMMAIRE :

- Notre Culture sensorielle, présentation thématique par Steven BERNAS

- La Photographie et le Sensible, par Jean-Claude LEMAGNY

- A l'épreuve de l'œuvre d'art contemporaine, par Hélène SINGER

- Performance et Body-Art : l'Art du Sensible, par Denis BARON

- La webcam, vers un réel potentiel : une expérience du sensible, par Feten BACCAR

- Performances technologiques d'un corps sans sens, par Virginie BAUDRY

- Évanescence de l'Identité corporelle, par Laurie JOLY


ÉQUIPE :

Directeur de la publication : Steven BERNAS

Responsable de publication : Steven BERNAS, Laurie JOLY

Comité scientifique : Miguel ALMIRON, Steven BERNAS, Catherine BOUKO, Laurie JOLY, Aurélie MARTINEZ

Rédacteurs : Feten BACCAR, Denis BARON, Virginie BAUDRY, Steven BERNAS, Laurie JOLY, Jean-Claude LEMAGNY, Hélène SINGER

Graphic Design : Laurie JOLY


CONTACT :

La Revue du Sensible : revuesensible@gmail.com

Steven BERNAS : bernas.steven@live.fr

Laurie JOLY : jolylaurie@gmail.com

Parution: Making is connecting.

Making is Connecting: the social meaning of creativity, from DIY and knitting to Youtube and web 2.0

David Gauntlett

Polity Press, 2011, 232 pages, 19 euros.

In Making is Connecting, David Gauntlett argues that, through making things, people engage with the world and create connections with each other. Both online and offline, we see that people want to make their mark on the world, and to make connections. During the previous century, the production of culture became dominated by professional elite producers. But today, a vast array of people are making and sharing their own ideas, videos and other creative material online, as well as engaging in real-world crafts, art projects and hands-on experiences. Gauntlett argues that we are seeing a shift from a ‘sit-back-and-be-told culture' to a ‘making-and-doing culture'. People are rejecting traditional teaching and television, and making their own learning and entertainment instead. Drawing on evidence from psychology, politics, philosophy and economics, he shows how this shift is necessary and essential for the happiness and survival of modern societies.



lundi 21 mars 2011

Parution: The handbook of media audiences

The Handbook of Media Audiences

Virginia Nightingale (Editor)

560 pages, 132 euros

April 2011, Wiley-Blackwell

This handbook offers a comprehensive overview of the complexity and diversity of audience studies in the advent of digital media.

* Details the study of audiences and how it is changing in relation to digital media

* Recognizes and appreciates valuable traditional approaches and identifies how they can be applied to, and evolve with, the changing media world

* Offers diverse perspectives from which being an audience, theorizing audiences, researching audiences, and doing audience research are approached today

* Argues that the field works best by identifying particular 'audience problems' and applying the best theories and research methods available to solving them

* Includes contributions from some of the most outstanding international scholars in the field

Notes on Contributors.

Series Editor's Preface.

Acknowledgments.

Introduction (Virginia Nightingale).

Part I Being Audiences.

1 Readers as Audiences (Wendy Griswold, Elizabeth Lenaghan, and Michelle

Naffziger).

2 Listening for Listeners: The Work of Arranging How Listening Will Occur in Cultures of Recorded Sound (Jackie Cook).

3 Viewing (Shawn Shimpach).

4 Search and Social Media (Virginia Nightingale).

5 Spreadable Media: How Audiences Create Value and Meaning in a Networked Economy (Joshua Green and Henry Jenkins).

6 Going Mobile (Gerard Goggin).

Part II Theorizing Audiences.

7 Audiences and Publics, Media and Public Spheres (Richard Butsch).

8 The Implied Audience of Communications Policy Making: Regulating Media in the Interests of Citizens and Consumers (Sonia Livingstone and Peter Lunt).

9 New Configurations of the Audience? The Challenges of User-Generated Content for Audience Theory and Media Participation (Nico Carpentier).

10 The Necessary Future of the Audience … and How to Research It (Nick Couldry).

11 Reception (Cornel Sandvoss).

12 Affect Theory and Audience (Anna Gibbs).

Part III Researching Audiences.

13 Toward a Branded Audience: On the Dialectic between Marketing and Consumer Agency (Adam Arvidsson).

14 Ratings and Audience Measurement (Philip M. Napoli).

15 Quantitative Audience Research: Embracing the Poor Relation (David Deacon and Emily Keightley).

16 Media Effects in Context (Brian O'Neill).

17 Cultivation Analysis and Media Violence (Andy Ruddock).

18 Creative and Visual Methods in Audience Research (Fatimah Awan and David Gauntlett).

19 Locating Media Ethnography (Patrick D. Murphy).

Part IV Doing Audience Research.

20 Children's Media Cultures in Comparative Perspective (Sonia Livingstone and Kirsten Drotner).

21 Fan Cultures and Fan Communities (Kristina Busse and Jonathan Gray).

22 Beyond the Presumption of Identity? Ethnicities, Cultures, and Transnational Audiences (Mirca Madianou).

23 Participatory Vision: Watching Movies with Yolngu (Jennifer Deger).

24 The Audience Is the Show (Annette Hill).

25 Seeking the Audience for News: Response, News Talk, and Everyday Practices (S. Elizabeth Bird).

26 Sport and Its Audiences (David Rowe).

Index.

vendredi 18 mars 2011

Vie des doctorants: contrats doctoraux, ATER et certifications

Le REPLIC vous fait part d'une série de nouvelles relayées par l'UNEF et les élus doctorants au conseil de l'ED:

- Un projet est actuellement en cours d'élaboration et applicable dès l'année prochaine: l'introduction d'une certification par points ECTS des formations (séminaires, conférences etc.) proposées par l'Ecole Doctorale.

Depuis plusieurs années déjà, le conseil constatait régulièrement la participation trop faible des doctorants à cette offre de formation et déplorait, en particulier, que les doctorants inscrits à ces formations ne préviennent pas de leur absence lorsqu'ils ne peuvent honorer une inscription. Afin de remédier à ce problème, mais aussi afin de donner désormais une valeur plus concrète à ces formations, celles-ci feront dès l'année prochaine l'objet d'une certification qui sera remise à chaque doctorant au moment de sa soutenance, attestant ainsi de son parcours de recherche au-delà de la seule rédaction de thèse.

Pour les doctorants contractuels (anciens allocataires de recherche / contrats doctoraux / ATER), il est prévu de rendre cette certification obligatoire : il sera nécessaire de cumuler 60 pointes ECTS pour pouvoir soutenir la thèse. Etant donné que les doctorants contractuels sont par définition plus à même de suivre régulièrement l'offre de formation de l'Ecole Doctorale, cette obligation ne devrait pas constituer de problème - elle témoignera simplement de nos différentes activités durant 3, 4 ou 5 années de recherche (et d'enseignement: les heures de monitorat / d'enseignement seront prises en compte dans les points ECTS).

- Alors que sur 665 doctorants, seuls 51 bénéficient d'un financement (soit moins de 8% ...), l'Université Bordeaux 3, au motif qu'il faut combler les déficits creusés par la baisse des moyens alloués par le ministère, choisit ses priorités et se propose de « répartir l'effort » entre les différents collèges (Biatoss, enseignants-chercheurs et étudiants): le Président de Bordeaux 3 souhaite ainsi supprimer 2 des douze contrats doctoraux ouverts chaque année, soit une baisse drastique de 17%, oubliant la grande précarité de l'immense majorité des doctorants.

- La présidence prévoit également de recruter de préférence des ATER à temps plein et non plus à mi-temps (ce qui signifie concrètement qu'un ATER ne pourra presque plus travailler sa thèse, avec 192 heures de cours par an).

lundi 14 mars 2011

Appel à communication Transforming audiences III

INTERNATIONAL CONFERENCE: Call for papers

TRANSFORMING AUDIENCES 3

Online& Mobile Media, Everyday Creativity and DIY Culture

1-2 September 2011, University of Westminster, London, UK

Presented in association with ICA, IAMCR, ECREA,& the COST project

Transforming Audiences, Transforming Societies

The previous Transforming Audiences conferences, in 2007 and 2009, have seen this event become Europe's major recurring international conference for audience/user studies, bringing together researchers from all over the world.

Now we are pleased to announce that Transforming Audiences 3 will take place in central London in September 2011, welcoming researchers interested in all kinds of studies of people using media, including mobile, online, social and DIY media.

Keynote speakers include:

- Nancy Baym, author of Personal Connections in the Digital Age;

- Jean Burgess, co-author of YouTube: Online Video and Participatory Culture;

- Adriana de Souza e Silva, co-author of Mobile Interfaces in Public Spaces and Net Locality;

- Patricia G. Lange, co-author of Hanging Out, Messing Around, and Geeking Out;

- David Gauntlett, author of Making is Connecting.

Deadline for abstracts: 21 April 2011

Rappel: inscription aux Doctorales de la SFSIC

Doctorales Sfsic 2011

Bordeaux, 30 et 31 mars 2011

Les inscriptions aux Doctorales 2011 sont ouvertes à l'adresse suivante:http://www.sfsic.org/doct11inscription/

Les journées doctorales se tiendront les 30 et 31 mars 2011 à Bordeaux (laboratoire d’accueil : Mica, http://mica.u-bordeaux3.fr/ ), dans le bâtiment de la Maison des Sciences de l’Homme d’Aquitaine (http://www.msha.fr ).

Tous les aspects pratiques sont disponibles sur le site dédié aux doctorales:http://www.msha.fr/doctorales-sfsic/

mardi 8 mars 2011

Appel à communications Journée doctorale de l'AFECCAV

JOURNÉE DOCTORALE DE L’AFECCAV

Association française des chercheurs et enseignants-chercheurs en cinéma et audiovisuel

VENDREDI 9 SEPTEMBRE 2011

Organisation : Emmanuelle André, Jacqueline Nacache, Pierre-Olivier Toulza

Université Paris-Diderot Site des Grands Moulins, Bâtiment C 5 bis rue Thomas Mann 75013 Paris

Appel à communications

L’AFECCAV organise le vendredi 9 septembre 2011 une journée doctorale qui aura lieu à l’université Paris-Diderot, site Grands Moulins. Cette journée vise tout d’abord à réunir les doctorants dont la recherche, quelle que soit la discipline, inclut dans son champ de réflexion le cinéma, la télévision ou les nouveaux médias audiovisuels. Elle sera l’occasion de rencontres et de débats avec les enseignants-chercheurs des disciplines concernées, et informera son public sur le fonctionnement de l’institution universitaire (CNU, comités de sélection, parcours du doctorant), au cours de présentations générales qui auront lieu lors de séances plénières. Les doctorants avancés, c’est-à-dire ceux qui auront, à la rentrée 2011, au moins deux années pleines d’inscription en doctorat, pourront présenter publiquement leur travail au cours de cette journée. À la différence des journées doctorales précédentes, les interventions ne se limiteront plus à une simple présentation de la thèse et des pistes de recherche. On attend désormais, comme lors de tout colloque scientifique, une communication autonome, susceptible de donner lieu à publication, par exemple une étude de cas qui illustre la problématique de la thèse. La durée en sera de vingt minutes, extraits éventuels compris. Ces communications permettront par ailleurs aux doctorants débutants, auditeurs de cette journée, de réfléchir sur le travail de recherche doctorale dans des champs méthodologiques variés, sa dynamique et ses enjeux. Les propositions de communication, d’une dizaine de lignes, devront mentionner : les coordonnées complètes de l’intervenant, le titre de la thèse préparée, l’université, le nom du directeur de thèse, la date de première inscription. Elles seront envoyées par courrier électronique, aux trois adresses suivantes :

emmanuelle.andre@univ-paris-diderot.fr

jacqueline.nacache@univ-paris-diderot.fr

pierre-olivier.toulza@univ-paris-diderot.fr

Date limite pour l’envoi des propositions : 31 mars 2011.

Les propositions seront examinées par le comité scientifique, qui communiquera ses réponses aux candidats au plus tard le 15 mai 2011.

Comité scientifique : Emmanuelle André, Joël Augros, Philippe Bourdier, Jacqueline Nacache, Geneviève Sellier, Pierre-Olivier Toulza.

L’adhésion à l’AFECCAV est obligatoire pour participer à la journée doctorale.

Frais d’inscription à la journée : 15 euros (déjeuner offert à tous les participants)